Association des Amis de l'Aigoual du Bougès et du Lozère

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Nombreux articles de Presse au sujet du loup .....

"Autorisation de tuer un loup agressif"

La préfecture des Alpes-de-Haute-Provence a autorisé un tir de prélèvement d'un loup dans le massif du Parpaillon/Ubaye, où les troupeaux ont "connu cette année une augmentation exceptionnelle des dommages" malgré les mesures de protection des troupeaux et d'effarouchement mis en oeuvre par les éleveurs. Depuis le début de l'année, 362 brebis ont été tuées dans les Alpes de Haute-provence au cours de 108 attaques, contre 253 bêtes tuées et 51 agressions à la même date l'an passé. L'Office national de la chasse et de la Faune sauvage (ONCFS) recense 220 loups sur l'ensemble du territoire, essentiellement sur l'arc Alpin, mais aussi dans le Massif central et les Pyrénées. Cette espèce protégée progresse de 15 à 20% par an et étend sa zone de présence vers la moyenne montagne.

(©La Croix, mardi 14 septembre 2010)


"Un loup repéré dans le parc des Cévennes "

MENDE - Un loup a vraisemblablement été repéré la semaine dernière en Lozère dans le parc national des Cévennes, ce qui confirmerait le retour de l'animal dans le département où il avait disparu après guerre, a-t-on appris lundi de sources concordantes.
Des traces de loup ont été repérées jeudi sur la commune des Bondons et un agent du parc des Cévennes affirme qu'il a pu observer visuellement l'animal.
Des agents de l'Office national de la chasseet de la faune sauvage et du parc national ont suivi les traces dans la neige et réalisé des prélèvements transférés pour analyse à Lyon, a précisé la préfecture du département. Les résultats définitifs des analyses ADN seront connus dans trois semaines.
Le cadavre d'un veau a en outre été découvert à proximité mais il y a trop de traces d'animaux différents pour confirmer que le loup l'a tué.
Des traces de deux loups, une femelle âgée et un jeune mâle,avaient déjà été confirmées en février 2007 sur la commune de Saint-Laurent-de-Muret en Lozère.
La préfecture cherche à savoir si le nouvel animal repéré est l'un d'eux. Si tel est le cas, l'Etat pourrait confirmer que le département de la Lozère est désormais habité par le loup après qu'il a été observé deux hivers consécutifs.
(©AFP / 26 janvier 2009 15h28)



(©La France Agricole / 11 juillet 2008 )


"Histoire du méchant loup"

Nous sommes contents de vous informer de la parution d'un récent ouvrage "Histoire du méchant loup" qui répertorie de façon très historique et scientifique 3 000 attaques de ce fauve sur l'homme. L'auteur, Jean-Marc Moriceau, est ancien élève de l'Ecole Normale Supérieure, professeur d'histoire moderne à l'université de Caen et président de l'Association d'histoire des sociétés rurales.

Nous profitons de la médiatisation de ce livre pour rappeler la position des Amis de l'Aigoual, du Bougès et du Lozère : fidèles au principe de précaution, l'association est farouchement opposée au retour du loup dans les Cévennes où ce fauve a commis de si gros ravages par le passé.

le livre de JM Moriceau est disponible aux éditions Fayard (30€)


"Un loup affamé dévore un garçon en Turquie" la République du Centre 30 nov 2004

Un loup affamé a dévoré un garçon de dix ans dans une petite ville du centre de la Turquie, rapportait hier l'agence de presse Anatolie. Le loup a attaqué à la gorge l'enfant qui était sorti de sa maison dimanche, pour jouer, puis lui a arraché un bras. Le corps du garçon a été retrouvé dans un terrain vague.Une chasse est prévue dans la zone pour abattre l'animal qui s'est aventuré à la lisière de la ville à la recherche de nourriture, a indiqué la sous-préfecture


"Non à la réintroduction du loup" la Lozère Nouvelle 13 août 2004

L'association Les Amis de l'Aigoual, du Bougès et du Lozère a tenu à Florac son assemblée générale annuelle en présence de nombreuses personnalités : plusieurs conseillers généraux : MM. Denicourt et Faïsse ; le président du Parc National des Cévennes, M. Lhéritier accompagné de M. Dolfus, architecte du Parc ; Robert Lecat, inspecteur général du ministère des Affaires Culturelles ; M. Hirsinger, vice-président du CRPF ; Mme de Nogaret, présidente de la Propriété Agricole ; M. de Nogaret, délégué des Vieilles Maisons Françaises ; M. Lafont, directeur de la Forêt Privée.

La Chambre d'agriculture était représentée par M. Commandré et les Bâtiments de France par M. Malzac.Après l'approbation des comptes présentés par M. Belorgey, trois thèmes principaux ont été développés par le président, M. de Laubespin : le projet de restauration par l'association d'un pont sur le Ramponsel, affluent du Tarn, véritable petit "Hubert Robert", dans un cadre de rochers et de verdure ; l'opposition à la réapparition du loup en liberté dans les Cévennes, qualifiée par Guy Crouzet, historien du loup, de "Permis d'inhumer d'une région" ; la volonté de rendre aux chasseurs l'usage des zones interdites à la chasse, condition indispensable au rétablissement du développement durable dans le Parc National des Cévennes. M. Pansier, directeur du CAUE, traita avec compétence le sujet retenu cette année : bâtiments agricoles et paysages. De tout temps, a souligné l'orateur, l'homme s'est montré intéressé par son environnement, traduit depuis des siècles par une multitude de tableaux dont témoignent encore nombre de nos musées (Canaletto, Guardi, Le Paladio, Poussin, Hubert Robert, Corot ...).

Aujourd'hui encore, n'est-ce pas la qualité des paysages et du patrimoine bâti qui attire dans le département les nombreux touristes? Comment insérer des bâtiments agricoles fonctionnels et indispensables à une agriculture compétitive sans pour autant défigurer un site? Telle est la question à laquelle le conférencier apporta à l'auditoire de multiples réponses au moyen de très intéressantes projections : implantation et toiture en harmonie avec le relief ; choix de matériaux, si possible issus de produits naturels (bardages en bois par exemple) ; soin des abords et accompagnement végétal de ces derniers.Autant de têtes de chapitre que le CAUE, organisme de conseil, est prêt à traiter avec tous les intéressés (CAUE, avenue Georges Clémenceau, Mende, 04 66 49 06 55)


 


 


 

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